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Articles
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Les résidents privés de thèse sont invités à reprendre du service
30 mars 2018, par Anne Marie DE RUBIANAMarisol Touraine et Najat Vallaud-Belkacem avaient permis dans le projet de loi « Modernisation, développement et protection des territoires de montagne » aux personnes qui n’avaient pas soutenu leur thèse dans les temps, de la soutenir afin de pouvoir exercer la médecine. Les nouvelles ministres Agnès et Buzyn et Frédérique Vidal veulent aller plus loin avec le décret relatif à l’inscription universitaire des personnes ayant validé la formation du résidanat et n’ayant pas soutenu leur thèse. Le (...) -
DFMS et DFMSA : 663 places pour se spécialiser en France en 2019-2020
10 mai 2019, par Anne Marie DE RUBIANALES PLACES OFFERTES AU TITRE DES DIPLÔMES DE FORMATION MÉDICALE SPÉCIALISÉE ET DIPLÔMES DE FORMATION MÉDICALE SPÉCIALISÉE APPROFONDIE pour l’ année universitaire 2019-2020 viennent d’être publiées au JO. Les DFMS et DFMSA (Diplômes de Formation Médicale Spécialisée et Diplômes de Formation Médicale Spécialisée Approfondie)sont des formations diplômantes de 3e cycle destinées uniquement à des ressortissants AUTRES que les ressortissants des Etats membres de l’Union Européenne, d’un Etat partie à l’accord sur (...) -
Algérie, la révolte des médecins résidents réprimée violemment
10 janvier 2018, par Arnaud JaninSur les 13 000 médecins dits résidents en Algérie équivalent des internes de médecine en France, environ 7 000 d’entre eux observent une grève depuis mi novembre dernier. Ils réclament la fin du service civil qui les oblige, à l’issue de leurs très longues études à travailler dans un établissement public, entre un et quatre ans selon l’éloignement de la zone. Mais le dispositif s’avère à bout de souffle et ne répond plus à l’exigence nationale de couverture sanitaire spécialisée. Reportage. En Algérie, les (...) -
J’ai soutenu ma thèse, mais je n’ai pas le droit d’exercer la médecine
19 avril 2018, par Sophie CousinMichèle a eu 40 ans cette année. Depuis 2010, elle n’a plus le droit d’exercer la médecine. Elle raconte son parcours kafkaïen pour faire valider sa thèse et la soutenir après la date limite de fin 2012. Malgré sa persévérance, son université ne lui a toujours pas remis son justificatif de soutenance. Comme elle, les « privés de thèse » seraient entre 150 et 300. Comment le décret paru le 30 mars dernier pourrait-il débloquer la situation ? L’analyse du Dr Sophie Bauer, en charge ce dossier au SML. Le (...)