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Articles
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Réforme 2018 : la fin des prépas ?
21 décembre 2018, par Idris AmroucheLa fin d’année est mouvementée pour le gouvernement. Les réformes s’enchaînent les unes après les autres. L’hôpital et le monde médical dans son ensemble sont au cœur de ces bouleversements. Ce changement de paradigme que vivent les étudiants et professionnels de santé aura probablement des effets collatéraux. Des effets qui réjouiront certains, car même sans le vouloir, ils effaceront peut-être des inégalités qui s’étaient installées au fil des années. La Paces et avant cela, le concours de première année, (...) -
Pleins feux sur la Paces et le numerus clausus
7 septembre 2018, par Arnaud JaninLa rentrée est chaude pour les pacesiens ! Alors que le film de Thomas Lilti Première année sort ce mercredi, le numerus clausus se retrouve en même temps sous les feux de la rampe et au cœur des débats. Olivier Véran, député LREM, l’a expliqué sur France Inter mercredi dernier. Un petit groupe de parlementaires planchent sur la suppression du numerus clausus. Cette proposition pourrait faire partie de la réforme des systèmes de santé, dont l’annonce (sans cesse reportée depuis des mois) est prévue pour (...) -
Comment se repérer dans le maquis des prépas ?
24 avril 2018, par Sophie Cousin75% des étudiants en Paces y auraient recours, estime l’ANEMF. Comment sont organisées ces prépas ? Quels sont les services proposés ? Qui sont les profs ? Font-elles le poids face aux tutorats ? Et surtout, quels sont les avis des étudiants qui se sont inscrits ? Remede a mené l’enquête. Leur coût varierait entre 2 500 et 10 000 euros (tarif repéré à la Réunion) pour l’année, en fonction des organismes et des options choisies. « Juste des cours papier, c’est environ 800 euros, mais ensuite ça augmente (...) -
Elisabeth Ashton, interne en oncologie : : « Mon cœur battait plus pour l’oncologie »
28 mars 2019, par Sophie CousinL’oncologie est une spécialité de plus en plus prisée, en raison notamment de sa transversalité et des multiples avancées de la recherche dans ce domaine. En troisième semestre d’internat à l’hôpital Cochin (université Paris-Descartes), Elisabeth Ashton est l’une des deux internes référentes en oncologie en Ile-de-France. Elle nous raconte son choix, son internat, et les débouchés en oncologie. Pourquoi avez-vous fait médecine ? J’ai toujours voulu m’orienter vers un métier scientifique, par goût de la (...) -
Le Sénat a adopté le projet de loi santé
12 juin 2019, par Sophie Cousin219 voix pour, 92 contre. Hier, mardi 11 juin, le Sénat a adopté en première lecture le projet de loi santé. Bonne nouvelle : les sénateurs ont supprimé la limitation à 3 ans de la durée des remplacements. Mauvaise nouvelle : les sénateurs sont favorables à ce que les étudiants de troisième cycle de médecine générale et d’autres spécialités exercent en autonomie en zone déficitaire lors de leur dernière année de formation. L’ensemble des syndicats de jeunes médecins refuse que leur formation soit ainsi « (...) -
Pr Jean Sibilia : Le numerus clausus est mort, vive le nouveau cycle des études médicales
21 septembre 2018, par Sophie CousinElu président de la Conférence des doyens en janvier 2018, doyen de la faculté de Strasbourg et chef de service de rhumatologie, le Pr Sibilia fait le point pour Remede sur les nombreuses réformes qui vont transformer les études de santé : disparition du numerus clausus, réformes des 1er et 2e cycle, service sanitaire et 3e cycle, suppression des ECN… vous saurez tout sur les changements à venir ! Pourquoi avez-vous choisi la médecine et ensuite la rhumatologie ? Mon père était interne lorsque (...) -
Agnès Buzyn annonce la suppression du numerus clausus en 2020
18 septembre 2018C’est désormais officiel. Le numerus clausus sera supprimé dès la rentrée 2020. Agnès Buzyn l’a annoncé lundi 17 septembre dans une vidéo diffusée en ligne par Le Parisien. Cette mesure s’inscrit dans un vaste plan santé qui est dévoilé ce 18 septembre, par le président de la république, Emmanuel Macron. Le gouvernement entend ainsi répondre au manque de praticiens sur le territoire et favoriser la diversification des profils accédant aux études de médecine. « Il y a trop d’enfants qui souffrent », avait (...) -
Dr Emanuel Loeb, président de Jeunes Médecins : « Prendre le pouls de la communauté des jeunes médecins »
18 février 2019, par Sophie CousinAprès son investissement à l’Isni et son internat en psychiatrie, il a pris la présidence de Jeunes Médecins, communauté souhaitant représenter l’ensemble des jeunes professionnels, toutes spécialités et tous modes d’exercice confondus. Revendiquant un fonctionnement plus transversal et participatif que les structures syndicales déjà installées dans le paysage, sa plateforme dématérialisée est déjà opérationnelle et l’adhésion gratuite. Pourquoi avoir choisi médecine et comment s’est passé le début de vos (...) -
Frédérique Vidal : « La réforme de la Paces vise à diversifier les profils de nos futurs étudiants en santé »
20 février 2019, par Arnaud JaninFrédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, invitée des Contrepoints de la Santé du 19 février, explique en quoi la réforme des études de santé va permettre de ne plus mettre les étudiants en situation d’échec et à diversifier les profils des futurs professionnels de santé. Propos. « Trop d’étudiants brillants se trouvaient en situation d’échec sur ce concours », affirme d’emblée l’invitée des Contrepoints de la santé du 19 février 2019, Frédérique Vidal, la ministre de (...) -
Le Gouvernement souhaiterait supprimer le numerus clausus prochainement
5 septembre 2018, par Arnaud JaninLe numerus clausus pourrait disparaître sur décision du gouvernement, selon le site de France Info le 5 septembre dernier. En juin dernier, un candidat sur sept, soit 8 200 étudiants sur 60 000 postulants (15 % des candidats) seulement avaient pu passer en deuxième année. Selon la radio, deux options sont sur la table pour l’instant, sans qu’aucune décision finale n’ait été prise. Soit le numerus clausus laisse la place à un numerus apertus : chaque université pourrait former alors autant de médecins (...)