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2ecycle_maieutique
Articles
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Maïeutique : Jean Bernard Guillou, un sage parmi les sages-femmes
6 décembre 2016, par Marie-Laure Wallon21 000 de sages-femmes exercent en France dont seulement 1% d’hommes. -
Anne-Marie Curat, présidente de l’Ordre des sages-femmes : « Les sages-femmes sont encore trop invisibles ! »
15 juin 2018, par Sophie CousinA la tête de l’ordre des sages-femmes depuis 2017, Anne-Marie Curat a derrière elle une longue carrière de sage-femme cadre et d’enseignante. Sélection trop scientifique, études en Belgique, universitarisation de la profession... elle fait le point sur les conditions de formation actuelles. Et plaide pour une ouverture plus large des plateaux techniques et des moyens supplémentaires pour l’exercice des nouvelles missions, dont l’IVG médicamenteuse. A quel âge et pourquoi avez-vous choisi sage-femme (...) -
7 étudiantes sages-femmes sur 10 ont des symptômes dépressifs
10 décembre 2018, par Sophie CousinCe chiffre alarmant est le principal enseignement de l’enquête bien-être réalisée par l’Association nationale des étudiantes sages-femmes (ANESF) auprès de plus de 2 400 étudiantes, dévoilée le 5 décembre dernier. Sous pression lors des stages notamment, les étudiantes décrivent des maltraitances verbales et psychologiques. L’ANESF demande une amélioration des conditions d’accueil. « Nous avons été très surpris par l’ampleur des chiffres ! 7 étudiants sages-femmes sur 10 souffrant de symptômes dépressifs et (...) -
Pr Jean-Pierre Olié : « Savoir gérer le stress devrait faire partie de la formation de soignant ! »
16 février 2018, par Sophie CousinGrand spécialiste de la dépression, de la schizophrénie et de la souffrance au travail, le Pr Jean-Pierre Olié, ancien chef de service de psychiatrie de l’hôpital Sainte-Anne et professeur de psychiatrie à la faculté de médecine Paris-Descartes, a remis un rapport sur le burn-out en 2016. Etiologie et reconnaissance du burn-out, prévention de l’épuisement pendant les études, vision encore trop « surnaturelle » de la psychiatrie parmi des spécialités médicales… il répond aux questions de Remede. Pourquoi (...) -
Marine : « Mon métier de sage-femme m’aide au quotidien, surtout en salle de naissances »
11 janvier 2019, par Idris AmroucheMarine, sage-femme de formation est aujourd’hui jeune interne en gynécologie-obstétrique. Sa passion et sa volonté d’une prise en charge la plus complète de la femme expliquent son choix. Elle explique à remede.org son parcours et son regard sur ces formations différentes, bien que complémentaires. Peux-tu nous détailler ton parcours ? J’ai d’abord obtenu un bac S que j’ai bien réussi, puis deux P1 que j’ai « bâclées ». Je crois que la découverte de la fac après le lycée m’a plus donné envie de faire la (...) -
Quel ministre de la santé Voulez-vous ?
9 mai 2017, par Anne Marie DE RUBIANAAu lendemain des résultats, le jeux des tables tournantes est à son paroxisme... Remede vous donne la parole quant au choix du ou de la prochain(e) ministre de la santé. Votre avis compte maintenant !!! Et nous ne manquerons pas de le relayer dans les plus brefs délais à qui de droit ! Résultat du jour .... Il y aura encore de la négociation dans l’air... Remede.org veut connaître votre souhait pour le ou la future nominée à l’avenue de Ségur... C’est à vous de donner vos arguments et votre choix (...) -
Pharmacien-Sage-femme : c’est possible
17 novembre 2017, par Idris AmroucheMickaël Champey a commencé son cursus post-PACES en école de sage-femme. Il débute aujourd’hui sa carrière dans l’industrie pharmaceutique. Un parcours atypique, permis aujourd’hui par les passerelles entre les études de santé. Mickaël explique à Remede ses choix et son parcours, et prouve qu’être pharmacien-sage-femme c’est non seulement possible, mais aussi particulièrement avantageux. Quel est ton parcours ? J’ai fait deux années de PACES puis j’ai finalement opté pour le cursus de sage-femme. Cette (...) -
Les étudiantes sages-femmes mitigées sur le projet de loi santé
19 juin 2019, par Sophie CousinFin de la Paces, transversalité, place référente auprès des femmes, allongement des délais d’IVG, élargissement des compétences et universitarisation. Julie Kebart, présidente de l’Association nationale des étudiantes sages-femmes (ANESF) commente les mesures du projet de loi santé qui concernent de près les étudiantes en maïeutique. Quels sont les points positifs du projet de loi santé pour les futures sages-femmes ? L’article 1 qui supprime la Paces est une bonne chose, à condition que l’on ne (...) -
Pour lutter contre les échecs en Paces : les expérimentations sont renforcées
3 avril 2017, par Anne Marie DE RUBIANADepuis 2014 des modalités particulières d’admission dans les études médicales, odontologiques, pharmaceutiques et maïeutiques ont été mises en place dans certaines facultés. Le décret 31 mars 2017 publié au J.O le 2 avril 2017 tend à les renforcer. Dans un contexte d’échec massif à l’issue de la Paces, des filières alternatives à la PACES (première année commune aux études de santé) avec un pourcentage de places réservées aux admissions parallèles ont été créés. Le but est de permettre aux étudiants de se (...) -
La passerelle, le grand saut d’obstacle
16 novembre 2016, par Idris Amrouche