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Anthony, étudiant externe à Nantes, est-il décédé à cause du vaccin AstraZeneca ?

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Une enquête est en cours suite au décès le 18 mars d’un jeune externe de 24 ans, après avoir été vacciné avec le vaccin AstraZeneca. Florian, un médecin urgentiste à Nantes qui a envoyé un mail au député de La France Insoumise François Ruffin dit « avoir la rage ». D’après l’autopsie, il a été retrouvé 1,7 litre de sang dans le ventre, selon le frère de l’externe.

Tout le monde s’interroge. Une enquête est en cours suite au décès le 18 mars d’un jeune externe de 24 ans, quelques jours après avoir été vacciné avec le vaccin AstraZeneca. Florian, un médecin urgentiste à Nantes qui a envoyé un mail au député de La France Insoumise François Ruffin dit « avoir la rage » après avoir appris la nouvelle. D’après l’autopsie, il a été retrouvé 1,7 litre de sang dans le ventre. Selon le frère de l’étudiant, c’est bien le vaccin qui a déclenché la thrombose fatale : « Je vous mets au défi de trouver une personne qui a une thrombose à 24 ans », explique-t-il au journal Ouest France.

Florian, médecin urgentiste à Nantes, qui a travaillé pendant une semaine avec l’externe décédé, souligne la précipitation de l’ANSM à commenter le décès alors que l’enquête médicale et judiciaire est toujours en cours. Selon l’Agence, « Dans le cadre de notre surveillance renforcée des troubles thromboemboliques, nous avons été informés d’un cas de décès d’une personne de 24 ans plusieurs jours après une vaccination avec le vaccin AstraZeneca. A ce stade, aucun élément ne permet de conclure en faveur du rôle du vaccin. Ce cas de décès fait l’objet d’une investigation clinique approfondie par les Centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) ».

Toujours selon le frère, la famille « se pose des questions autour du vaccin. C’est inévitable  », insiste l’aîné. Sans aucun antécédent médical, son frère avait une hygiène de vie (sport, diététique). « Alors ce vaccin, c’est la seule branche à laquelle on peut se raccrocher pour comprendre ce qui s’est passé. »

Quant au médecin urgentiste, il parle d’un déni de la part des autorités sanitaires. Et de citer la DGS pour laquelle les cas graves se présentent sous forme de thrombose veineuse, y compris à des sites inhabituels, tels qu’une thrombose veineuse cérébrale, une thrombose veineuse mésentérique, ou encore une thrombose artérielle, concomitante à une thrombocytopénie. La majorité de ces cas est survenue dans les sept à quatorze jours suivant la vaccination et principalement chez des femmes de moins de 55 ans, ajoute l’Agence. En sens inverse, selon l’urgentiste, « il y a de fortes raisons de suspecter le vaccin ». Comparant la durée de suspension du vaccin AstraZeneca (2 jours) avec celle de l’enquête qui risque de prendre des mois, il conclut : « L’ANSM défend, sans argument tenable, l’innocuité du vaccin, le jour même des résultats de l’autopsie, pour protéger le gouvernement qui ne peut plus faire marche arrière, au risque d’être, encore une fois, ridicule. C’est à vomir. » L’ANSM n’a pas répondu aux sollicitations de la rédaction.

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  • Arnaud Janin
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