logo remede logo remede
La 1ère Communauté Médicale
médecine - pharmacie - odontologie - maïeutique
M'identifier
Mot de passe oublié ?
Je me connecte

Vous n'êtes pas inscrit à l'annuaire des membres ? Inscrivez-vous

  • France
  • Niveau supérieur
  • > Médecine
  • Niveau supérieur
  • > RENNES
  • Niveau supérieur
  • > Médecin généraliste
  • Niveau supérieur
  • > B. Boutillier
  • Niveau supérieur
certification
photo du membre
Bertrand Boutillier - Médecin généraliste remplaçant - RENNES
Ce membre peut peut-être vous remplacer professionnellement ?

Sur les forums : Bertrand B.
° Mer. °
4
Mars 09

Liberté d'installation et déserts médicaux

Publié le 04/03/09 10:29 - Modifié le 04/03/09 10:32
Tags associés : A lire ailleurs, Liberté d'installation, Numerus clausus, Projet de loi
Le Figaro économie indique qu’« un des amendements les plus cruciaux à la loi Bachelot a été voté, mardi soir, […] sur les déserts médicaux ».
Le journal explique que le texte « prévoit que les médecins des zones surdenses aillent régulièrement en renfort de leurs confrères des zones manquant de praticiens. Les récalcitrants seront passibles d'une «amende» égale au plafond mensuel de la Sécu (2 859 €) ».
Le quotidien précise que « la mesure entrera en vigueur si les dispositifs incitatifs prévus par la loi restent inefficaces 3 ans après leur mise en place ».
Le Figaro économie observe que les députés « partisans de mesures plus sévères, pour mieux répartir les médecins, ont retiré leurs amendements ».
Le journal ajoute que Roselyne Bachelot « a dit qu'elle n'accepterait que des mesures «intergénérationnelles» - concernant aussi les médecins installés -, estimant que des dispositifs frappant seulement les futurs médecins seraient à la fois injustes et inefficaces ».

[...]

Le quotidien (La Croix) remarque notamment que « le projet de loi prévoit l’instauration d’un numerus clausus régionalisé ».
La Croix explique que « l’idée est d’adapter la formation des médecins aux besoins locaux, en créant des postes d’internes en médecine générale ou en psychiatrie à Rouen ou à Amiens, qui en manquent, plutôt que des postes de radiologues ou de dermatologues à Nice et à Paris, villes déjà bien pourvues dans ce domaine ».
Le journal note ainsi que « la ministre de la Santé fait le pari qu’une fois formés, les jeunes médecins n’iront pas exercer ailleurs ».
Billet précédent :
ECN 2008 : je continue ...
Vous devez être inscrit et identifié pour poster un commentaire
livreslivrescontactspublicationstwitter