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Rim Loussaief - Autre paramédical - TUNIS
° Mar. °
27
Oct. 20
La revue internationale "Infection Control & Hospital Epidemiology" de l'Université de Cambridge rapporte la proposition d'un groupe de chercheurs à Naples pour prévenir la contagion Covid-19. La solution ? Peroxyde d'hydrogène (mieux connu sous le nom d’eau oxygénée).
Le peroxyde d'hydrogène contre le coronavirus ?

Voici comment désinfecter les muqueuses de l'oropharynx et du nez avec ce désinfectant courant :
• Rinçages buccaux (peroxyde d'hydrogène 3%, 10 volumes : une mesure de H2O2, deux mesures d'eau) - trois fois par jour. Diluer une partie de peroxyde d'hydrogène [3% 10 vol.] avec deux parties d'eau pour obtenir une concentration de 1% de désinfectant. C'est la dose correcte pour procéder au rinçage).
• Nébulisation des fosses nasales (concentration à 1,5%) - deux fois par jour.
Des études sur le comportement des coronavirus ont montré que le coronavirus "repose" sur le mucus qui recouvre les cellules épithéliales, puis progresse vers celles-ci et se réplique. À ce stade, le virus est plus faible et peut être attaqué avant d'atteindre la muqueuse trachéale, ce qui se produit environ deux jours après l'infection.

L'efficacité du produit

En pratique - explique Antonio Del Prete, professeur d'ophtalmologie à l'université de Naples Federico II - en se gargarisant 3 fois par jour et en se lavant le nez 2 fois par jour, la possibilité de contracter le virus est réduite, avec pour conséquence une diminution des hospitalisations dues aux complications de l'infection.
L'efficacité du peroxyde d'hydrogène est due non seulement à ses propriétés oxydantes et d'élimination mécanique, mais aussi à l'induction de la réponse immunitaire antivirale innée par la surexpression du TLR3 (Toll-like receptor 3), réduisant ainsi la progression globale de l'infection des voies respiratoires hautes vers les voies respiratoires basses.
Les chercheurs suggèrent l'utilisation de peroxyde d'hydrogène immédiatement après l'apparition des premiers symptômes et le diagnostic présumé de Covid, c'est-à-dire pendant la maladie à domicile en quarantaine ou chez les patients hospitalisés qui ne nécessitent pas de soins intensifs.

Les chercheurs confirment qu'aucun dommage n'a été observé à la suite de gargarismes, la pratique est donc sans danger.
Enfin, une iodopovidone à 0,6 % est proposée sous forme de gouttes oculaires deux fois par jour.
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